Les galets nous inspirent

Qu’ils soient vrais, représentés, peints ou imités, les galets inspirent et continuent d’inspirer. Au naturel ou revisités, ils se posent sur les tables, habillent les murs ou créent de jolis objets.

 

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Portrait en bref : un peintre « enflammé » du nom de Steven Spazuk

Star du feu, Steven Spazuk, artiste franco-canadien, a développé une technique unique permettant d’utiliser la flamme d’une bougie ou la flamme d’une torche comme un crayon pour créer des tableaux. En utilisant divers outils, il sculpte les panaches de suie en laissant les formes se dessiner sur la toile.

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Salon Morocco

Du vert et du mauve pour ce salon marocain.

Le sol est recouvert d’une moquette verte sur laquelle repose un canapé d’angle de style marocain avec du tissu coloré. Une petite table basse accueille un photophore vert qui brille lorsque la bougie est allumée.

Les murs ont été peints en mauve, où l’on peut voir deux décorations gecko. Des rideaux de fil verts ont été accrochés aux fenêtres.

Enfin, un grand lustre vert vient éclairer la pièce.

Floriane Lemarié

Petite histoire de Noël

Pour vous plonger dans l’ambiance, voici la petite histoire de Noël en bref :

Qu’est-ce que Noël ?

Au départ, c’est une fête chrétienne célébrant la naissance de Jésus de Nazareth, appelée Nativité, fixée au 25 décembre. Mais c’est aussi une fête païenne marquant le solstice d’hiver.
Aujourd’hui, c’est toujours aune fête chrétienne mais également une tradition qui permet le regroupement familial autour d’un repas et d’un échange de cadeaux.

Les origines

Bien que la date de naissance de Jésus ne soit pas connue précisément, Noël a été fixé le 25 décembre afin de tenter de substituer cette fête à celles païennes qui fêtaient la renaissance du Soleil.
Période charnière de l’année, de nombreuses croyances étaient reliées à la fertilité, la maternité, la procréation et l’astronomie. Il existait donc de nombreuses manifestations.
Dans l’antiquité proche orientale, le Mithragan (fête du culte mithraïque) se déroulait chaque année le jour du Solstice d’hiver, jour célébrant de naissance de la divinité et la victoire de la lumière sur les ténèbres. Il s’agissait d’une tradition venue d’Asie mineure célébrant la naissance miraculeuse de Mithra qui jaillit d’une grotte sous le regard émerveillé de bergers. Des similitudes avec le culte chrétien, non ?
Dans le culte judaïque, la fête de Hanoucca commémore la réinauguration du Temple de Jérusalem profané par les Grecs anciens. Elle a été fixée au 25 du neuvième mois lunaire, nommé Kislev.

Dans la Rome antique, on fêtait les Saturnales : d’abord du 17 au 21 décembre, puis plus tard du 17 au 24 décembre, les hommes et les femmes portaient des guirlandes autour du cou et s’offraient toutes sortes de cadeaux.

Pour l’anecdote, la fixation de la date du 25 décembre du Solstice d’hiver est due à une erreur commise par l’astronome Sosigène, durant la réforme du calendrier à l’initiative de Jules César en 46 avant J.-C. Il fixa les débuts des saisons avec un retard de un ou deux jours par rapport à la réalité.

La  fête des sigillaires, « ancêtre » de la Saint Sylvestre terminait les festivités du mois de décembre, où les gens s’offraient des cadeaux et où les esclaves devenaient les maîtres et inversement.

Les romains terminaient quant à eux par le sacrifice d’un taureau, le Sol Invictus correspondant à la naissance du jeune Dieu solaire qui, reprenant les traditions mithraïques, était censé surgir d’un rocher ou d’une grotte sous la forme d’un enfant nouveau-né.

La tradition et le symbolisme

L’avent

C’est la période qui englobe les quatre dimanches qui précèdent Noël, où les chrétiens allument une bougie le premier dimanche, puis une de plus chaque dimanche suivant. Cette tradition est le symbole de la lumière qui va renaître le soir de Noël.

Ainsi est né le fameux calendrier de l’avent qui consiste, dans une grande planche en carton prédécoupée, à ouvrir des petites fenêtres, une par jour depuis le 1er décembre jusqu’à Noël (24 jours). Chaque fenêtre contient une phrase de l’Évangile (version chrétienne), ou une petite confiserie (version profane).

La messe de minuit

Elle se déroule le 24 décembre au soir et célèbre la Nativité de Jésus. Autrefois, elle commençait à minuit, mais aujourd’hui elle a lieu le plus souvent en début de soirée.

La crèche de Noël

C’est une représentation de la scène de la naissance de Jésus. La crèche est réalisée sur une table, ou à même le sol, avec une étable miniature et des personnages. La tradition de la crèche s’est perpétuée dans tout le monde catholique. En Provence, des personnages nouveaux ont été ajoutés, les santons qui figurent souvent les métiers traditionnels du XIXe siècle ou les scènes de la vie quotidienne de la région.

La veillée de Noël et Noël

C’est le repas du soir du 24 décembre, appelé réveillon de Noël. Pour les catholiques, la soirée du 24 décembre est coupée par la messe de minuit, mais pour presque tout le monde, c’est avant tout un regroupement familial.

Le repas de Noël est un repas festif avec comme plat traditionnel la dinde de Noël, des fruits de mer, du foie gras et qui se termine traditionnellement par la bûche de Noël. Cette dernière rappelle la tradition ancienne où l’on mettait au feu une grosse bûche en début de soirée. Cette bûche était choisie pour sa taille et sa qualité car elle devait brûler pendant toute la veillée.

Le père Noël

Inventé par les anglo-saxons au XIXe siècle, il s’inspire du personnage de Saint Nicolas. Vieil homme pourvu d’une longue barbe blanche et d’un costume rouge, il habite au Pôle Nord et est chargé d’apporter des cadeaux. Il possède également un traîneau tiré par des rennes.

Les cadeaux

Les cadeaux s’échangent le jour de Noël avec les personnes réunies sous le même toit, et dans les jours qui suivent avec la famille et les amis proches. Ils s’ouvrent le matin de Noël.
Pour les chrétiens, ces cadeaux représentent les offrandes faites à l’enfant Jésus le jour de sa naissance.
Même si la tradition d’échange de cadeaux est devenue très commerciale de nos jours, il n’en reste pas moins la magie du don à quelqu’un qu’on aime.

Noël et décorations

Présentes, aussi bien à l’intérieur des habitations que dans les rues, elles donnent un air de fête. Elles sont souvent lumineuses pour pouvoir être allumées dès la nuit tombée.

Le sapin de Noël

Symbole de l’arbre de vie, le premier sapin serait apparu en Alsace en 1521. Il serait issu de représentations théâtrales où le sapin représentait l’arbre de vie au milieu du paradis terrestre.
Aujourd’hui, il est décoré à l’extérieur des maisons, mais aussi à l’intérieur. Il est le point central de regroupement des cadeaux avant leur distribution. On dépose toujours nos cadeaux au pied du sapin !
Autrefois, cet arbre était décoré d’oblatas (offrandes, petites friandises figurant les hosties), et de pommes représentant le fruit défendu, objet du premier péché. Aujourd’hui, le sapin se pare de multitudes de décorations, de guirlandes lumineuses, de boules de Noël, de petits anges, etc…

Noël est aujourd’hui une fête familiale qu’elle soit chrétienne ou païenne, dans la tradition merveilleuse des moments de partage, de convivialité et des illuminations de Noël.

(Sources : http://ecoledusacrecoeur.e-monsite.com, http://architecture.desktopnexus.com, http://cultures.wp.mines-telecom.fr, http://www.le-village-du-pere-noel.fr,  http://www.christianophobie.fr, http://fr.wikipedia.org)

Bonnes fêtes à tous !

Floriane Lemarié

Un ensemble de chauffe plats en béton et ardoise

Dernières nouvelles de la créatrice: création et réalisation d’un ensemble de chauffe plats en béton

Présentation :

Ces chauffe plats LINES font partie de la collection STRATA. Ils sont réalisés en béton brut, béton teinté et inscrustations d’ardoise.

Bougeoirs en béton par Floriane Lemarié

Chauffe plats en béton et ardoise

Retrouvez toutes les collections sur https://www.flemarie.fr/blog/galerie-design/ contact : http://flemarie.fr/contact.php)

Un ensemble de bougeoirs en béton ! : du naturel à la lumière des bougies

Dernières nouvelles de la créatrice: création et réalisation d’un ensemble de bougeoirs en béton

Présentation :

Ces bougeoirs LINES font partie de la collection STRATA. Ils sont réalisés en béton brut, béton teinté et inscrustations d’ardoise.

Bougeoirs en béton par Floriane Lemarié

Bougeoirs LINES collection STRATA par Floriane Lemarié

 

Retrouvez toutes les collections sur https://www.flemarie.fr/blog/galerie-design/ contact : http://flemarie.fr/contact.php)

Nouvelles collections 2012 : objets design en béton par Floriane Lemarié

Les nouvelles collections d’objets en béton 2012 font aussi leur rentrée!

Quatre nouvelles collections !

  • 1- La collection Damier : Un dessous de plat tendance en béton brut peint à la main avec un motif en damier pour un décor chic, et un ensemble de presse-papiers. Ces objets sont dans la continuité du jeu de dames « les dames » édité chez espace-designers.fr. La collection continuera de se développer pour d’autres objets.

  • 2- La collection Wire Fence : Elle se décline en plusieurs objets comme des porte-encens, des dessous de plats, des presse-papiers, des bougeoirs, qui sont réalisés en béton brut peint à la main avec comme ligne directrice l’incrustation de grillage. Des objets originaux très design.

 

  • 3- La collection Strata : La collection comprend des dessous de plats, un porte-encens et des bougeoirs en béton brut, béton teinté et incrustations d’ardoise. La ligne évoque un style aux lignes pures, très naturelles.

 

  • 4- La collection Copper : Ce sont des objets en béton allié avec du cuivre. La collection se décline en dessous de plat, vide-poches, presse papiers.

Créer une ambiance exotique

Pour créer une ambiance exotique, quelques règles simples sont à appliquer : Choisir des matières naturelles, des bois exotiques ou bruts, des couleurs épicées, des accessoires exotiques.

Les matières naturelles

Pour votre décoration, vous pourrez choisir des matériaux naturels ou bruts tout en veillant à garder une certaine simplicité pour ne pas charger les lieux. Ainsi, pour le sol, vous pourrez opter pour du jonc de mer, du bambou, du sisal dans des teintes très foncées ou à l’inverse très claires. Le coton, le lin et le chanvre conviendront tout particulièrement à créer votre ambiance exotique.

Le bois

Vous pourrez installer du mobilier en bois brut avec des formes simples ou encore en teck qui convient aussi bien pour l’extérieur que pour l’intérieur. Il existe également des bois tropicaux dans des tonalités de noir, ou le wengé. Cependant, veillez à ne pas trop charger avec du bois brut, ce qui pourrait nuire à l’effet recherché et transformer votre décor en ambiance rustique.

Les couleurs

Pour créer une ambiance exotique, les teintes épicées sont à privilégier. Ainsi, vous pourrez utiliser des nuances d’orange, de marron et de vert qui se marieront très bien avec le bois, le blanc et les autres éléments de décor, mais aussi des tons jaunes ou fushia sans insister sur les couleurs vives.

Les accessoires

L’élément indispensable : les plantes.  Elles feront ressortir le mobilier en bois et les couleurs neutres et créeront une ambiance tropicale. Vous pouvez également choisir de poser des stickers avec des motifs floraux ou encore un lai de papier peint fleuri.
Les rideaux seront à choisir avec soin lorsque vous aurez décidé de la couleur de vos murs ou de vos accessoires comme les coussins par exemple.
Les galets, les accessoires en bambou et les bougies flottantes viendront parfaire votre décoration en donnant une atmosphère douce, exotique et chaleureuse.

Petite histoire de la lampe…

La lumière est un élément primordial dans la maison. A la fois fonctionnelle et décorative, la lampe s’est imposée comme objet indispensable, tant dans nos intérieurs que dans les extérieurs.

Les premières lampes :

L’éclairage naît avec la découverte du feu. Ce dernier chauffe, cuit mais éclaire aussi. Une fois domestiqué, le feu a pu être déplacé et allumé en fonction des besoins. C’est la naissance du premier éclairage.

Associé à différents combustibles comme le bois, la paille, la graisse animale, puis d’autres dans le temps comme le souffre et la poix, le feu deviendra une source de lumière durable. Par la suite, on assiste à l’apparition des premières lampes à huile alimentées par la graisse animale et végétale, lampes qui deviendront des objets utiles, et enfin des objets décoratifs.

Ainsi, ces lampes vont varier de par leur aspect, styles et matières selon la culture des pays, mais aussi selon les combustibles employés. Cependant, cet éclairage éclaire peu, dégage des fumées désagréables et s’éteint facilement lorsqu’on le déplace, sans compter les risques d’incendie.

Chandelles et lanternes :

Evolution des lampes antiques, les chandelles font leur apparition au Moyen Âge. La chandelle est composée de graisse animale durcie (suif) autour d’une mèche. Ce procédé débouchera ensuite sur les premières lanternes à bougies qui remplaceront les lampes à huile. Ainsi, protégées du vent, ces lampes sont plus facilement déplaçables. On assiste ensuite à l’emploi de cire d’abeille qui formeront cierges et chandelles que l’on retrouve encore aujourd’hui. Utilisé dans les intérieurs, cet éclairage va très vite faire son entrée pour l’éclairage public afin de sécuriser les rues.

De l’éclairage individuel à l’éclairage collectif :

A l’époque médiévale, l’insécurité régnait dans les rues. Ainsi, l’éclairage public se développe avec l’installation de lanternes devant les maisons, avec des hommes « porte lanternes » qui accompagnaient les passants, et enfin, par l’installation de lanternes fixes aux extrémités des rues décidée par Louis XIV.

Le retour de la lampe à huile : apparition du réverbère

L’éclairage public à la bougie s’est considérablement développé mais est resté insuffisant et difficile à entretenir. C’est alors que les premiers réverbères à huile vont faire leur apparition. Leur principe est de réverbérer la lumière, c’est-à-dire renvoyer la lumière. Ainsi, on retrouve le principe d’Argand de Genève avec la lampe « à double courant d’air » qui permet une lumière plus dense et plus vive, la lampe Quintet-Lange (lampe de bureau où l’huile est reversée dans un contenant relié à la lampe), et d’autres encore.

Evolution des lampes à huile au siècle des lumières :

Objet utile, la lampe à huile n’a cessé de s’améliorer. Ainsi, après la Révolution, plusieurs autres modifications sur les lampes à huile ont été apportées. On retrouve la lampe à niveaux constants inventée par Proust qui diminue l’ombre portée créée par la lampe, la lampe Philipps qui augmente la luminosité en diminuant les réservoirs, la lampe Astrale avec un dôme en verre dépoli, la lampe d’horlogerie Carcel où l’huile est placée directement sous la mèche supprimant les ombres portées par le réservoir,  les lampes Gagneau et Gotten avec un mécanisme de pompes rendant l’élévation de l’huile plus régulière,  la lampe hydraulique de Heron avec deux vasques communicantes, la lampe hydrostatique de Thilorier avec une réaction chimique basé sur une solution de sulfate de zinc qui améliore l’élévation de l’huile, la lampe à modérateur qui permet de moduler l’arrivée d’huile, et bien d’autres encore en concurrence avec les bougies et les lampes thermiques.
Les éclairages à huile étant très onéreux, beaucoup utilisaient encore les chandelles qui ont toutefois été améliorées au cours des siècles.

L’éclairage à gaz :

Parallèlement aux lampes à huile, le développent de l’éclairage public s’est également fait par l’invention de l’éclairage à gaz. Philippe Lebon découvre que la décomposition du bois en milieu fermé crée un gaz s’enflammant au contact d’une bougie. D’autres chercheurs comme Murdoch vont explorer cette découverte pour laisser apparaître de nouveaux éclairages mais aussi le chauffage. Ainsi, sous Louis XVIII,  on voit apparaître dans les rues les éclairages au gaz, appelés becs de gaz,  révolutionnant l’éclairage public qui se démocratise mais aussi le chauffage collectif. C’est le début de l’ère industrielle.
Lampes portatives ou lampes fixes, l’éclairage à gaz a simplifié les modes d’entretien, mais il est aussi jugé dangereux. C’est dans les années 1870-1880,  que l’on assiste à l’invention de l’éclairage électrique.

L’éclairage électrique :

Au cours d’une expérience, Humphry Davy, chimiste, découvre l’arc électrique. A la suite de cette expérience, les premières lampes de mines seront créées, réduisant les risques lors de grisou. Léon Foucault développera cette découverte avec un gaz conducteur de courant, puis l’ingénieur russe Jablochkoff introduira le procédé de bougie électrique, et enfin, le système Werdermann finalisera l’ère de l’arc électrique avec le procédé de l’extrémité d’un brin de charbon butant sur un disque de cuivre. C’est le début de l’incandescence.

On assiste à l’apparition de la lampe d’Edison, la lampe de Swann, qui nécessiteront le stockage de l’électricité.

Lampe Edison avec filament de bambou carbonisé

Lampe Swann avec fil de coton carbonisé

Les autres éclairages :

Pendant ces expérimentations des éclairages à gaz et électriques, d’autres types de lampes ont fait leur apparition, car l’éclairage électrique ne sera définitivement utilisé qu’à la fin de la seconde guerre mondiale.

Les lampes à pétrole et à essence minérale :
Avec une lumière chaude, elles sont simples dans leur conception et dans leur utilisation. Elles sont composées d’un réservoir, d’un bec et d’une mèche avec le pétrole comme combustible. Ces lampes seront communément utilisées jusque dans les années 1940. Ce sont les lampes Messenger, Evered, Rochester, Hinks, etc…

Les lampes à carbure et les lampes acétylène :
C’est avec la découverte du gaz acétylène couplé avec l’utilisation de carbure dans un four à arc électrique, que l’éclairage individuel et public s’est amélioré. La lumière devient plus puissante et moins dangereuse pour les yeux.

L’éclairage a fait d’énormes progrès depuis l’arrivée de l’électricité. Ainsi, chacun d’entre nous utilise (ou a utilisé) les lampes à incandescence, fluorescentes, tant pour l’éclairage individuel que collectif. De nouvelles lampes à économie d’énergie et maintenant à LED ne cessent de faciliter nos modes de vie et de réduire la consommation en énergie. Nous sommes entrés dans l’ère moderne.

Ainsi, véritable invention, en passant par les infinies possibilités de créations en matière de design, la lampe nous accompagne au quotidien, tant par son côté utile, que par son côté décoratif. Élément de décor, elle met aussi en valeur nos autres objets de décoration. Fruit de la modernité, elle agrémente notre quotidien grâce à la maîtrise des énergies. Toutefois, en cas de coupure d’électricité, vous pourrez revenir aux modes d’éclairage anciens avec la lampe à pétrole, ou encore préférer un dîner aux chandelles…